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2012-07-13T07:06:00+02:00

Dojo : "C. Leblanc Défie M. Angot"

Publié par Minorité

judokatDojo : "Le maire Honoraire défie le maire ... "

titre OF du 11 juillet 2012

C. Leblanc a adressé au rédacteur de OF une lettre de 4 pages . Nous ne la possédons pas, contrairement à celle de mars qui était ouverte, (voir ci-dessous).  Claude Leblanc "regrette que la salle Lucie-Aubrac devienne le futur Dojo.. C'est un mauvais coup porté à Bras et Brossolette. C'est ce que le maire appelle de la démocratie participative ? Un vrai simulacre. C. Leblanc parle de
clientélisme et de mauvaise gestion".

 

 

La mauvaise gestion de ce dossier : 

 

La mauvaise gestion de ce dossier est évidente, comme nous l'avons rappelé ci-dessous en son temps. Un dossier complet sur l'ensemble de la gestion de la ville et de la communauté de communes aurait le mérite de pointer toutes les erreurs de gestion commises depuis 2008. Elles sont nombreuses : il suffit de regarder le nombre de bâtiments laissés à l'abandon, faute d'anticipation. Un autre va bientôt venir gonfler la longue liste : la crèche Sucre d'Orge pour laquelle la municipalité reconnaît n'avoir aucun projet.

 


La facilité du clientélisme :

 

De Chacha, Mayenne [11 juillet 2012] extrait du forum Ouest-France :

"Une quinzaine d’années que j’attendais ça : merci ! La salle Lucie Aubrac correspond exactement aux besoins d’un club de judo ... M. Roger : mes enfants ont côtoyé la crèche et ses escaliers (bonjour l’accessibilité), etc… non merci.
Les opposants à ce projet ont-ils demandé aux parents, aux judokas, aux professeurs et aux membres du bureau ce qu’ils en pensaient ?".

 

 

Réponse de la minorité non publiée car OF ne publie
que les réponses de ses lecteurs :

 

Bien sûr qu’il faut un nouveau Dojo à Mayenne, une piste cyclable sur le viaduc pour la sécurité des cyclistes, une salle nouvelle pour le club de tennis de table, une salle de spectacle promise au Kiosque depuis des années, une nouvelle piscine, une 3ème salle de cinéma, un pôle sante et ...pourquoi pas un bowling comme le demande régulièrement des jeunes ... !

Imaginez un seul instant, par exemple, que nous proposions aux pongistes, à leurs familles et supporters d’intégrer la salle Jules Ferry pour les doter enfin d’une salle digne de leur niveau national. Combien diraient Non ? Et pourtant, serait-ce souhaitable pour la collectivité ? Quid des autres utilisateurs de cette salle ?

 
Agrandir le plan  

 

dojo aubrac1C. Leblanc remet en cause le changement brutal d’affectation de la salle Lucie Aubrac. Elle était initialement destinée à structurer un quartier relativement défavorisé, par ailleurs. L'arbitrage précipité de la municipalité, en faveur, du Dojo s'est fait évidemment au détriment de ces autres besoins. Votre désir légitime d'avoir un nouvel équipement pour pratiquer votre sport favori, ne doit pas vous faire oublier les conséquences collatérales d'une telle décision, qui plus est, non concertée.

 

Vous deviez être encore plus favorable à la construction d'un nouveau Dojo implanté à Robert Buron. Pourtant la municipalité a, après un an de travail, dont 6 mois pour le bureau d’études (30.000 €), changé subitement de cap : financement impossible ! Dès le début du dossier, la minorité, avait pourtant posé la question de son financement. Elle a été éludée. Dommage pour les contribuables que nous sommes tous.

 

BMmars2012dojoLa salle Lucie Aubrac a coûté plus de 2.000.000 € actuels pour sa construction. Les seuls 200.000 € que vous avez vu ci et là et notamment dans le bulletin municipal, ne représentent que les aménagements nécessaires à l'adapter en configuration Dojo.

4 surfaces de combat sont prévues, alors que votre association et la fédération n'en demandaient que trois. Tant mieux pour les judokas qui vont bénéficier de cette générosité contrainte par la superficie de cette salle !

Générosité aussi de la part du bulletin municipal (BM) qui a consacré opportunément, 3 pages aux sports de combat et notamment au judo, mettant soudainement en avant le dynamisme de votre club. Comment après cela, oser poser des questions sur l'opportunité d'utiliser la salle Lucie Aubrac comme Dojo ? Ne serait-ce que des questions sur la  méthode ? Ces impertinents sont alors immédiatement jugés d'opposants, d'anti-judo, de contestataires, de polémistes, ... ?

Nous avons déjà eu l'occasion de dire que "question n'est pas suspicion". Mais face à la puissance du journal municipal, à autant de démagogie, cela relève du combat du pot de terre contre le pot de fer.

 

2 cantons mayenneNous avons posé une autre question car non traitée dans les 3 pages du BM : Pourquoi cette salle sera-t-elle payée par les seuls contribuables mayennais ? N'aurait-il pas été normal qu'elle soit de la compétence du Pays de Mayenne puisque beaucoup de pratiquants sont issus de ses différentes communes communes ?

 

Peut-être avez-vous des propositions de recyclage de la crèche Sucre d'Orge ? Faut-il la raser comme la gendarmerie va l'être pour y construire le pôle santé ? La municipalité, est preneuse de solutions en ces périodes de disette budgétaire : recycler un bâtiment c'est aussi faire du développement durable ! Pourquoi le recyclage ne serait-il conseillé que pour les déchets ménagers ? De plus, c'est souvent profitable aux finances publiques, donc bon pour tous les contribuables.

 

La salle Lucie Aubrac, âgée seulement de 6 ans, devait-elle déjà être recyclée ? Nous n'avons pas la réponse puisque nous n'avons même pas été convié à participer au peu de réflexion qu'il y a eu sur ce projet, pendant la trêve de Noël 2011. Sur ce dossier, nous avons posé des questions que nous estimions légitimes, comme nous le faisons sur la plupart des sujets que nous avons à traiter en conseil. Nous continuerons à le faire, dans un état d'esprit constructif et non partisan, sans aucune démagogie : c'est de notre responsabilité de minorité que de veiller à la bonne gestion des ressources au profit du plus grand nombre !

 

Quand mauvaise gestion et clientélisme sont réunis :

 

 

cdmfloch-5juillet-2012.jpg   C'est plus de 400.000 € qui vont certainement s'envoler en fumée, suite à l'abandon par l'entreprise Floch de son projet de développement d'une zone économique (Courrier de la Mayenne du 5 juillet). Ce projet avait subit un premier avis négatif donné par un commissaire-enquêteur en janvier 2008. Cependant pour faire passer en force un projet abracadabrantesque et construit, en dépit de tout bon sens, le Maire d'Aron et le Président du Pays de Mayenne sont allés, en 2009 jusqu'à "engager leur responsabilité d'élus sur ce dossier".

C'est ce que précise dans son rapport la 2ème commissaire-enquêteur pour justifier, en grande partie, l'avis positif qu'elle a, après beaucoup d'hésitations et des réserves, finalement accordé, en 2009 sur la foi :

  • de ces engagements d'élus
  • et d'un chantage à l'emploi de l'entreprenueur : licenciement, délocalisation, zone franche, ....

 

Extraits des conclusions de la commissaire-enquêtrice :

estraits-conclusion-jpg

Aujourd'hui, plus de 400.000 € d'argent public risquent d'être perdus !   

Qui est responsable de cette gabegie de plus de 400.000 € ? Selon le Président du Pays de Mayenne : "c'est l'Etat, les difficultés administratives et son formalisme" qui en seraient responsables ! Nous reviendrons, en octobre prochain, sur ce sujet qui est "un exemple de gestion" calamiteuse de dossier.


cresson.jpg

Facile et Bizarre ce jugement très critique vis à vis des services de l'Etat ! Comment peut-on aussi aisément se défausser de sa responsabilité quand on a mis tout son poids dans la balance ?

Les services de l'état n'ont veillé qu'au respect de la loi sur l'eau comme l'indiquait bien le rapport (cf ci-dessus). Les premiers textes  de cette loi datent de ... 1992 ... Cela ne s'invente pas, elle a été mise en place par le gouvernement Cresson.

 

 

Ce n'est donc pas d'hier, même si la loi a été renforcée récemment. Vouloir en faire fi était donc pour le moins scabreux. Chacun peut en mesurer,  aujourd'hui, toutes les conséquences.

 

schyzoprene.jpgLa municipalité s'autoproclame, régulièrement, exemplaire en terme de développement durable et de démocratie ? Pourquoi un tel décalage entre les actes et les discours ?

 

Espérons que le voyage au sommet de Rio du Vice-Président de la Région, M. Lescornet, l'inspire. En tant que Vice-Président du Pays de Mayenne et de la commission urbanisme, il peut mettre en pratique, localement, ses déclarations d'intentions pour éviter le renouvellement d'un tel scénario pour notre collectivité.

 

Les élus devrait joindre plus souvent les actes à la parole et moins jouer à "docteur Jekyll et M. Hyde."

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Engager sa responsabilité : quelle signification pour un élu local ?

 

M. Le Maire d'Aron et M. Le Président du Pays de Mayenne "ont engagé", en 2009 "leur responsabilité sur ce dossier", celui de la zone Floch, aujourd'hui abandonné définitivement. Que  signifie cet engagement de responsabilité de la part d'élus, après le flop du projet et les préjudices  qu'il entraîne pour la collectivité ? 

 

En droit, Tout administré a la possibilité d'obtenir réparation des dommages imputables à la puissance publique (responsabilité civile). C'est une pièce essentielle de l'Etat de droit ; même la puissance publique doit répondre des conséquences de ses actes. Généralement, un élu, un administratif engage donc la responsabilité de son institution voire la sienne propre lorsqu'il commet une faute qui porte préjudice à un ou plusieurs de ses concitoyens. Cette responsabilité, qui entraîne réparation voire sanction,  peut être d'ordre :

  • financier : anomalie dans les comptes
  • pénal : violation intentionnelle ou non d'une obligation
  • civil : préjudice subi par un particulier

Et qu'en est-il de la reponsabilité politique ?

Le système est tel en France que la responsabilité des décideurs, est difficilement engagée, sur les projets menés et les choix effectués. Si des procédures* de mise en jeu de la responsabilité politique existent pour un gouvernement, elles sont inexistantes pour un élu local !

Donc quand un élu local et, a fortiori un président de communauté de communes (suffrage indirect), dit qu'il "engage sa responsabilité d'élu", cette déclaration, aussi solennelle soit-elle (devant un commissaire enquêteur, par ex.), n'a comme valeur que celle de la parole donnée. Cet engagement n'est donc que moral et de la propre responsabilité de son auteur.   

Seul l'électeur pourra, a postériori, sanctionner une décision inopportune ou préjudiciable à la collectivité ... Encore faut-il, pour qu'il puisse le faire, qu'il en soit informé. C'est le jeu normal de la démocratie. Mais sur "le dossier Floch", la presse quotidienne n'a vraiment assuré que le service minimum. Et bien sûr, vous ne verrez rien dans les bulletins municipaux ou communautaires. Pourtant depuis 2007, ils n'ont pas été avares d'articles sur ce projet, présenté comme le fer de lance du dynamisme et de la politique économique de le municipalité et du Pays de Mayenne.

* procédures du vote bloqué (article 44), de la question de confiance (49-1), de la motion de censure (49-2), ou de l'engagement de la responsabilité du gouvernement sur un texte (49-3).

 

Dojo : C. Leblanc sur le tatami (le 10 mars 2012

 

dojo gambettaClaude Leblanc, l'ancien maire de Mayenne vient d'adresser une lettre ouverte au conseil municipal de Mayenne. C'est un élèment supplémentaire à verser au débat que nous réclamons sur ce sujet. En commission, nous avons, dès le début de la présentation du dossier du Dojo, soulevé 2 questions majeures que nous retrouvons en filigrane de cette lettre :

  • La ville aura-t-elle les moyens de financer ce nouvel équipement ?
  • Pourquoi ne pas donner à ce projet un caractère intercommunal (comme on aurait aussi dû le faire pour la maison de la petite enfance) ? C'est une évidence.

Lettre ouverte, de Claude Leblanc,au conseil municipal  :

 

dojo-lettre-ouverte-1.jpg

Le Dojo mayennais doit être réalisé dans le cadre de l'intercommunalité, comme la piscine et, non pas en supprimant aux mayennais qui habitent les quartiers de Brossolette et de Bras, le seul équipement structurant à leur disposition depuis 2005

Nous connaissons l'énorme travail réalisé par Vincent Landau au sein du Judo Club. L'aura de cette discipline dépasse largement le cadre de la seule ville de Mayenne. Les licenciées viennent de nombreuses communes périphériques, ce qui justifie pleinement la réalisation de cet équipement dans l'intercommunalité.

Dans les Bulletin Municipal n° 205 de janvier-février, le maire écrivait :"la salle Lucie Aubrac est très utilisée, y compris pour les manifestations importantes. Celle-ci participe à l'attractivité mayennaise et il est vrai qu'elle peut générer ponctuellement quelques désagréments" - en réponse à un habitant du quartier qui se plaignait du stationnement le soir de manifestation.

 dojo-lettre-ouverte-2.jpg

 Il fallait, pour avaliser ce changement, faire vivre "la démocratie participative", à travers les conseils de quartier, ce qui a été fait (OF du 25-26 février 2012), réunis dans la salle du conseil municipal, avec pour thème les économies d'énergies sur l'éclairage public. L'installation du Dojo Mayennais à la salle Lucie Aubrac a été présentée comme "un moyen d'optimiser l'utilisation des équipements de la ville sans assumer les frais d'une construction neuve".

Les utilisateurs actuels ont été avisés, après enquête qu'à partir de septembre prochain, ils devront reporter leurs activités vers d'autres salles.

La salle Lucie Aubrac, livrée en 2005, avait pour but de doter les quartiers de Bras et Brossolette d'un équipement structurant qui faisait cruellement défaut, dans ce secteur géographique, avec la possibilité d'accueillir :

  • les écoles de proximité, école de Bras, collège Sévigné, 
  • les manifestations sportives; volley, Basket, tennis,
  • une scène pour les spectacles
  • et une cuisine pour recevoir les AG de la vie associative et de la population.

 

 dojo-lettre-ouverte-3.jpg

C'est un équipement indispsable, pour un quartier, jusqu'alors démuni d'infrastructures de qualité.

La salle de Judo, la piscune, sont des projets prévus depuis 2008. Ils doivent être réalisés dans le cadre de l'intercommunalité !

Les mayennais n'ont pas, seuls, à assurer les charges d'investissement qui ont à l'évidence un caractère intercommunal.

M Leblanc Claude

Maire Honoraire

 

 

Force est d'admettre la pertinence du propos ci-dessus, d'autant plus que son auteur a une légitimité certaine pour parler de l'intercommunalité. Il a, par exemple, réussi, en son temps, à trouver un accord pour avoir une Taxe Professionnelle Unique sur l'ensemble du territoire. La difficulté et l'impact étaient pourtant toute autre que pour les 3 investissements que la municipalité actuelle va lancer.

Deux ne seront donc pas intecommunaux ; maison de la petite enfance et Dojo. C'est une faute de gouvernance, surtout dans un contexte de projet de Pays. Il serait bien de passer enfin des paroles aux actes.

 

 

Février 2012 : Ippon pour le projet de nouveau Dojo

 

Pour faire suite à l'annonce du changement d'implantation du DOJO et au revirement complet sur ce dossier de la municipalité, nous souhaitons faire part de notre réflexion et des questions que ce changement subit pose à la minorité :
  

Processus de décision ?
- Pourquoi avoir mobilisé inutilement autant de ressources humaines et financières (plus de 30.000 €) pour une nouvelle étude qui n'aura servi à rien ?
- Pourquoi ne pas avoir pris la précaution préalable d'étudier le financement avant de lancer cette étude pour un nouveau Dojo ?

dojo-budget-etude.jpg 

Lors du lancement de cette étude, en mai 2011, nous avions posé la question du financement de ce projet. Sans besoin d'étude, il pouvait déjà être évalué à 2.000.000 €,

La réponse à cette question fut plutôt évasive. Aujourd'hui,  moins d'un an après, nous avons celle que nous préssentions : Financement impossible et 30.000 € engloutis dans une étude pour rien ! Une rallonge de 6.700 € a même été proposée fin novembre 2011. Est-ce là encore de la bonne gestion des finances publiques ? 

Les conseils de quartiers consultés dans un premier temps pour une implantation au Pommier ou la commission sport vont-ils être saisis pour donner leur avis sur ce revirement subit ?

Revirement :
La non dojo-aubrac1.jpgimplantation du Dojo dans le quartier du Pommier nous apparaît cependant comme une bonne nouvelle à trois titres :

  • * elle laissera un minimum d'espace vital pour la pratique du sport dans les établissements scolaires périphériques au site du Pommier.
  • * elle conserve la possibilité de revenir sur la décision aberrante d'expatrier la piscine aux Chateliers.
  •   Enfin, pour la 1ère fois, la municipalité pense à recycler certains bâtiments plutôt qu'à construire du neuf. Très bien, le nombre de bâtiments inutilisés commence en effet à s'accumuler. Mais faut-il choisir de recycler la salle Lucie Aubrac construite récemment et dont la cuisine est quasiment neuve ?

Ex de Bâtiments communaux sans affectations :

bibliotheques-JL-Trassard.jpg  ecole-musique-copie-1.jpg

Clinique de la Providence :


Agrandir le plan

 

 

Crèche fin 2011

 

. . .

 

 

 

 

 

Lieu d'implantation ?
La réponse de M. le Maire sur l'occupation de la salle Lucie Aubrac retenue est pour le moins ambigüe : très utilisée dans le bulletin municipal de janvier (voir ci-dessous), sous-utilisée maintenant, moins d'un mois après, pour justifier le Dojo ?? Elle pointe un jugement de circonstance, trop fréquent et notamment dans le courrier des lecteurs. A vous de choisir !

bm janvier au scan lucie aubrac

 

Nous demandons donc, sur ce sujet un vrai débat, dans la plus grande transparence et pas une décision prise à l'emporte pièce sur ce dossier : le fameux coup par coup que la municipalité avait promis de bannir de ces pratiques revient. Chassez le naturel et il revient au galop !  Nous proposons que soient étudiées d'autres possibilités d'implantation comme le hall d'exposition voire la crèche actuelle (libre dès 2013).


dojo-creche-4.jpg

crèche "libérée fin 2012" :
quel avenir ? 

hall-expo.jpg

Très faible utilisation des 4.000 m


Mutualisation indispensable :


stade de mayenne

Une mutualisation des équipements sportifs favorisant la mise en place d'équipements modulaires est à privilégier. Il faut tenir compte des erreurs passées et éviter ce qui a été fait pour le rugby !

La municipalité précédente n'est pas allée dans le sens de l'optimisation des installations du stade. Ceci s'est encore vérifié en 2011, avec ce nouvel équipement :


rugby-module.jpg

 

 

 

 

 

 

  Le stade ne disposait-il pas d'équipements largement suffisants pouvant être mutualisés ?

 

Nous proposons donc que soit notamment étudiée la possibilité d'augmenter, pour le hall d'exposition, un taux d'occupation manifestement très insuffisant. Ce bâtiment a coûté cher lors de sa construction. Il continue de peser beaucoup trop lourdement sur les finances locales en fonctionnement par rapport à l'usage qui en est fait.

Nous attendons que toutes les cartes soient mises sur la table avant de décider du lieu le plus pertinent pour l'installation de ce dojo !

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commentaires
J
<br /> Décidément les "erreurs" de jugement et d'appréciation du maire-président-conseiller général s'accumulent et deviennent très préoccupantes pour l'avenir de la ville et du pays de Mayenne. La<br /> multiplication de bâtiments municipaux dépourvus d'affectation qui sont de véritables "friches", de nombreuses "études" sans suite qui coûtent cher et maintenant le projet Floch qui<br /> avorte pour avoir été mal préparé... Quel gaspillage ! On serait même tenté de parler d'incurie lorsqu'on ne tient pas compte des résultats d'une enquête publique ou des règlements<br /> qui s'imposent à tous. La prise de position de Claude Leblanc laisse entendre que l'intérêt général n'a pas été pris en compte dans l'affaire du dojo et de la salle Lucie Aubrac. Ces<br /> différents incidents révèlent par leur nombre un manque de prospective et de suivi dans la gestion qui entraîne des dépenses inutiles pour la collectivité à un moment où des projets plus<br /> judicieux doivent être différés faute de financements. On aimerait que les représentants de la minorité soient mieux entendus et mieux écoutés lorsqu'ils posent de bonnes questions<br /> qui restent trop souvent sans réponse...<br />
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