Ces filiations quasi incestueuses ne facilitent certainement pas les remises à plat :Un déficit (- 33.480 €) qui ne provient pas d'un problème de fonctionnement mais ... C'est un problème juridique » fait remarquer Bernard Guillot, son président dans OF . ... "Une somme qui équivaut au montant du déficit,.. Sans ça, nous serions en positif».
«Déclarations pour le moins surprenante de la part de ce responsable qui est aux commandes depuis 4 ans. Le président :
- n'aurait-il pas provisionné pour litige dans les exercices comptables précédents, comme le principe de prudence en comptabilité l'impose ? Le risque latent existait bel et bien puisque M. Favaro demandait 150.000 € de dommages et intérêts et que finalement Agitato n'a été condamné "qu'à " 47.000 € ?
- oublierait-il que les 4 licenciements ont permis d'alléger les charges d'exploitation de plus de 150.000 € ? Il es licenciements en 2010 comme la mesure incontournable pour recomposer une trérorerie saine.
Pourtant son action demeure encore assez transparente aux yeux de
- beaucoup de Mayennais,
- du président lui-même qui indique que malgré des efforts de communication et la création d'un emploi dédié,"les gens connaissent la façade d'Agitato, mais ne savent pas toute la richesse qu'il y a derrière". Peut-être alors que le problème est plus profond ? Là aussi, comme souvent à Mayenne, la communication est plus appréhendée comme une finalité qu'un moyen au service de l'action.
Mais gageons que pratiquées depuis 10 ans par les municipalités a encore de bbeaux jours devant elle : difficile d'ête juge et partie à la fois.
AU MENU :
- Licenciement du directeur annulé pour harcélement moral
articles de jullet 2013
Juin 2014 Mla trésorerie est toujours aussi exsangue
,Budget stable pour le centre social Agitato
http://www.ouest-france.fr/budget-stable-pour-le-centre-social-agitato-2639796
Budget stable, peut-être ? Mais comme l'indique l'article il y a surtout une perte de 33.000 € et trésorerie exsangue. Pourtant Agitato qui est la seule association à avoir vu ses subventions augmentées autant ces dernières années, ne parvient toujours pas à reconstituer sa trésorerie.
Licenciement économique annulé pour harcèlement :
La Cour d'appel d'Angers vient d'annuler le licenciement économique du directeur d'Agitato en précisant "qu'il résulte de l'ensemble de ces éléments que M. Favaro a bien été victime d'agissements de harcèlement moral concomitants au licenciement".
Deux responsables sont clairement désignés dans l'arrêt :
- Le président
- Le responsable de la formation
L'association est condamnée à différentes indemnités et pénalités s'élevant à environ 50.000 €.
C’était déjà en 2004. L’audit d'alors ajoutait :
Drôles d'impressions ? L'impression de 10 ans de sur place ; les directeurs partent avec pertes et fracas et certains acteurs semblent intouchables et immuables. Mais entre 2004 et 2013, plusieurs autres épisodes se sont succèdés avec des scénarios prévisibles et prévus. <=] Menu
Chronique de crises annoncées :
Avant 2003 : Mme Guhur Jette l'éponge |
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2003-2006 : Mme Marienne Mise à l'écart |
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2006-2010 : M. Favaro Subi des agissements de harcèlement moral |
Depuis 2010, l'association est divisée en 2 secteurs :
- formation : Responsable M. Gardie
- Animation : Responsable M. Doussin
Comme de nombreux salariés et administrateurs (anciens ou actuels), M. Doussin, a témoigné lors des investigations menées par la gendarmerie. Celles-ci ont été déposées aussi bien au civil par M. Favaro qu’au pénal pour Mme Melot. Mme Melot est une ancienne salariée du centre de formation. Elle a porté contre M. Gardie, pour harcèlement moral. Elle a été contrainte d'abandonner son poste de formatrice suite à des problèmes de santé. La Cour d'appel d'Angers, chambre pénale l'a débouté de sa demande fin août 2013.
Avant 2007 Démission |
Investi depuis très longtemps, mais exténué par son impuissance à régler les problèmes, puis désavoué suite à une mise en cause des cadres , lui aussi, a fini par jeter l'éponge. |
2006-2009 : Mme Jule Démission |
Au delà de cette déclaration très courageuse, Mme Julé précise que cette lettre a été écrite par le Directeur du C.C.A.S. C'est un des principaux bras droit du maire. Difficile d'imaginer dans ce cas, qu'il ait agit de sa propre initiative ? Sinon M. Le maire doit apporter un désaveu cinglant à cette ingérence tout à fait contraire à la démocratie et aux valeurs défendue par l'association. |
Depuis 2010 ?
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peut-on rester président d'un centre social ? |
Exemplarité des dirigeants et valeurs fondatrices ?
Extraits de l'arrêt de la Cour d'Appel sans équivoques :
Démocratie ?
un Conseil d'Administration fantoche, véritable courroie de transmission de la mairie, où sont mises à l'écart les administratrices qui ne s'inscrivent pas dans la ligne.
Dignité humaine ?
Agitato : la responsabilité du maire ?
Agitato est la principale association satellite de la mairie. Elle est au bord du naufrage, d’abord moral avant même financier : de trop nombreuses personnes et personnels ont souffert, d’autres continuent à souffrir !
M. Le maire a :
- refusé, début 2009, les propositions de licenciement que lui avait faite M. Favaro alors directeur, pour redresser la situation financière dégradée. Cette dégradation était due notamment à une baisse drastique des aides de la CAF et à la gestion du centre de formation. Les retards pris dans les décisions n'ont fait qu'accroître le déficit.
- nommé un conseil d'administration totalement inféodé à la mairie. Il s'avère que les choix faits se révèlent désastreux.
- deux de ses représentants au conseil d'administration qui aurait dû intervenir
- un de ses bras droit qui a tenté de promouvoir directeur M. Le Responsable de la formation selon l'ancienne présidente de l'association.
Notre Demande : Agir enfin et prendre ses responsabilités
C'est la raison pour laquelle, pour :
- défendre la qualité du service au public indispensable que doit assurer l’association Agitato
- permettre de retrouver les valeurs fondamentales : dignité humaine, solidarité et la démocratie,
- garantir une nécessaire transparence démocratique dans notre ville, nous :
- nous suggérons au président d'Agitato qui a fourvoyé, par des décisions dictées ou personnelles, l'association, sur une voie totalement irresponsable, de tirer les conséquences de ses fautes, suite à l'arrêt sans équivoque qui vient d'être rendu et dont va pâtir l’association durablement,
- nous demandons la création d’une commission d'enquête pour examiner les appuis indéfectibles et l’immunité dont a bénéficié le responsable de formation dans la municipalité et à la mairie (en 1er lieu celui du directeur du CCAS) et déterminer les responsabilités au sein de la mairie dans ces affaires d'Agitato : Pourquoi cette ingérence du directeur du CCAS allant jusqu'à promouvoir un très proche ? A-t-il agit sur ordre ? Quel a été le rôle des administrateurs élus ? Le président s’est-il fourvoyé seul ou a-t-il répondu à une commande de la municipalité ou des cadres de la mairie ? ...
Le maire semble déjà avoir répondu dans la vidéo, ci-dessous : on ne change pas une équipe qui perd, on ne touche pas aux protégés. C'est malheureusement une pratique courante, à Mayenne, en matière de gestion du personnel.
Conclusion sur la gestion RH de la ville :
- Création d'un poste de collaborateur non soumises au conseil,
- contrat pour un poste de directrice des moyens généraux annulé par le tribunal administratif, en 2012 pour irrespect des procédures,
- Affaires Agitato
- ...
Le gestion calamiteuse des RH de la ville apparaît donc au grand jour. Cette pratique totalement archaïque et clientéliste de gestion des ressources humaines, en plus d'être foncièrement injuste, est tout à fait contre productive. Elle dessert la qualité du service public. Elle est démobilisante pour les personnels qui voudraient s’investir aussi bien pour la ville que dans son association satellite Agitato. Et on sait qu'ils sont nombreux !
Nous dénonçons ces pratiques faites trop souvent d’iniquité, d’opacité. Ces méthodes créent un climat délétère et contreproductif à la mission de service public.
Conseil municipal du 9 juillet 2013
Inscription en questions diverses du dossier Agitato suite à l'arrêt cassant le licenciement pour motifs économiques
Chanson tout à fait de circonstance
L'arrêt des juges sans aucune ambiguîté
Extraits de l'audit premonitoire d'Agitato de 2004 : il annonçait les crises connues depuis.
L'arrêt rendu par la Cour d'applek d'Angers le 18 juin 2013
Demande de la minorité relayée par France Bleue Mayenne